Archivage des messages éco-citoyens

Retrouvez l'intégralité des messages publiés jusqu'en aout 2015.

Remplir une voiture, c’est presque aussi efficace qu’un bus plein

En remplissant votre voiture vous économisez de l’argent, du pétrole et réduisez l’impact de votre voyage sur la santé de vos concitoyens et celle de la planète. Chaque année en France, des sièges vides parcourent des milliards de kilomètres. Ne l’oublions pas, la voiture particulière est responsable de 40 % à 70 % des polluants atmosphériques urbains et de 20 % des émissions de gaz à effet de serre qui provoquent le réchauffement climatique.

En offrant les sièges vides au cours de vos déplacements à d’autres usagers, vous réduisez votre facture et votre empreinte environnementale. Il existe aujourd’hui de nombreux prestataires de covoiturage qui vous permettent en quelques clics sur votre téléphone mobile de trouver des compagnons de voyage.

En doublant le nombre de personnes par voiture, c'est-à-dire en passant de la moyenne de 1,5 personne/voiture actuelle à 3 personnes par voiture, 40 milliards d’euros par an seraient économisés et les émissions de GES seraient réduites de 10 %.

Pour des déplacements plus conviviaux, moins chers et éco-citoyens, optez pour le covoiturage !

 

Ouverture du marché de l’électricité et offre verte

La fourniture d'électricité n'est plus un monopole depuis 2007 mais la moitié des français ne le sait pas. En 2014, 50 % d'entre eux ignoraient qu'ils pouvaient changer de fournisseur (baromètre annuel Energie-Info, www.energie-info.fr).

Parmi la dizaine de fournisseurs sur le marché des particuliers, certains ont une offre d'énergie 100 % " verte ", c'est-à-dire produite exclusivement à partir d'énergies renouvelables telles que l'énergie hydraulique, éolienne, solaire, géothermique, houlomotrice et marémotrice ou encore l'énergie issue de la biomasse (bois, gaz de décharge, gaz de stations d'épuration d'eaux usées, biogaz...).

Dans ces offres, le contenu CO2 du kWh peut varier dans un rapport de 1 à 20 (de 50 g CO2/kWh à 1000 g CO2/kWh), selon que l'on choisit une électricité produite à partir du soleil et du vent ou plutôt à partir de charbon.

Votre chauffage électrique consomme beaucoup d’énergie, pourquoi ne pas profiter des calories gratuites présentes dans l’air extérieur ?

C’est le principe de la pompe à chaleur. Pour une consommation électrique X donnée, la chaleur restituée pour le chauffage est de minimum 3,5 x X (Coefficient de Performance minimum de la pompe à chaleur)

Le saviez vous, en hiver, une pompe à chaleur refroidit l’air (pourtant déjà froid) qui se trouve à l’extérieur et injecte cette énergie récupérée dans votre maison sous forme de chaleur. Une pompe qui consomme 1 MWh d’électricité vous permet en moyenne de diffuser 3,5 MWh de chaleur dans votre maison.

En Scandinavie et aux USA, 9 maisons sur 10 sont construites en bois contre moins de 1 sur 10 en France.

Une ossature bois permet de réduire de 90 % l’impact CO2 du gros œuvre d’une maison  individuelle par rapport à une ossature en maçonnerie traditionnelle.

Pour construire l’ossature d’un logement standard avec du béton, il faut brûler l’équivalent de 10 000 litres de pétrole, soit autant qu’une voiture durant toute sa vie. Pour construire l’ossature d’un logement standard avec du bois, (mais quand même avec ce qu’il faut de béton pour les fondations), seulement l’équivalent de 1 000 litres de pétrole est nécessaire.

En choisissant une solution bois pour votre logement, vous assurez le déploiement d’une filière de construction local et durable et allégez très significativement votre bilan Carbone.

La climatisation sur l’autoroute

Sur autoroute, privilégiez la climatisation aux fenêtres ouvertes. La climatisation n'augmente que de 6 % vos émissions de GES sur un voyage sur autoroute à 130 km/h, alors que rouler les fenêtres ouvertes les augmente de 8 à 20 % (selon le nombre de fenêtres ouvertes. On retient 15 % pour les calculs).

La climatisation augmente donc vos consommations de gazole de 13 ,5 litres contre 33,5 litres pour les fenêtres ouvertes, ce qui correspond à des émissions respectives de 40 kg éq CO2 / an et 100 kg éq CO2 / an pour les fenêtres ouvertes.

Sur l'ensemble de vos déplacements sur autoroute, lorsque la température nécessite d'être baissée, privilégier la climatisation aux fenêtres ouvertes vous permet donc l'économie de 60 kg éq CO2 /an.

Bien évidemment, si climatisation il doit y avoir, privilégiez une température de 26° C plutôt que 19° C lorsque la température est de 30° C.

Je baisse le chauffage lorsque je m’absente

Je m’absente pour quelques heures, je baisse le chauffage. 

Je m’absente pour plusieurs jours, je mets le chauffage en hors-gel. 

Passer de 19° C à 8° C permet une économie de 75 % de votre consommation d’énergie et des émissions carbone associées sur cette période.

Générez moins de déchets

  • Triez bien vos déchets : verre, papier, carton, métal et plastique... ;
  • Buvez l'eau du robinet ;
  • Évitez les produits jetables et les emballages ;
  • Refusez la publicité dans votre boîte aux lettres.

« Économisez l’électricité »

  • Préférez la lumière naturelle et les ampoules fluo compactes. Éteignez la lumière quand vous quittez une pièce ;
  • Choisissez des appareils de classe A (efficacité énergétique maximale) et ne les laissez pas sous tension ;
  • Ne surchauffez pas : la température de confort est de 19°.

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« Ménagez l’eau »

  • Prenez une douche plutôt qu'un bain ;
  • Éliminez les fuites ;
  • Équipez vos robinets d'économiseurs d'eau ;
  • Choisissez une chasse d'eau à débit variable.

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Préférez le TER à la voiture

Sur une même distance, voyager en Train Express Régional (TER) émet environ 4 fois moins de Gaz à Effet de Serre (GES) que seul en voiture.

Si, sur 40 trajets d’environ 100 km, nous en réalisons la moitié en TER, nous économiserions 386 kg éq CO2 /an.

A noter : la différence d’émission entre TGV et TER est due au fait que beaucoup de lignes en France ne sont pas électrifiées, ainsi nombreux TER roulent au gazole. Le facteur d’émission du TER est donc nettement supérieur à celui du TGV, dont les lignes sont électrifiées.

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Pour un appartement conforme à la RT2012

Depuis le 1er janvier 2012, la réglementation thermique des bâtiments (RT 2012) a été renforcée afin que toutes les constructions neuves présentent, en moyenne, une consommation d’énergie primaire inférieure à 50 kWh/m²/an, et à 80 kWh/m²/an pour les bâtiments rénovés, contre 150 kWh/m²/an avec la réglementation précédente (RT 2005).

La consommation d’énergie des bâtiments concerne le chauffage, le refroidissement, la ventilation, les auxiliaires, la production d’eau chaude sanitaire et l’éclairage.

Sachant qu’en France le facteur d’émissions de l’électricité est de 85 g équivalent CO2 par kWh, cette réglementation permet d’économiser 8,5 kg éqCO2/m²/an pour les bâtiments neufs et 5,95 kg éqCO2/m²/an pour les bâtiments rénovés.

Appelés bâtiments basse consommation (BBC), les bâtiments conformes à la RT 2012 bénéficient d’une labellisation.

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« Réduire de moitié sa consommation de papier »

Une page A4 génère l’émission de presque 7 g éq CO2.

Sachant qu’un employé de bureau consomme annuellement près de 80 kg de papier en France – soit près de 3 ramettes par mois – réduire de moitié sa consommation mensuelle équivaudrait à économiser 53 kg éq CO2 par an.

 Quelques pistes : configurer les imprimantes sur l’option recto-verso, essayer l’impression en format livret, privilégier le papier 100 % recyclé, envisager les modes d’échange et d’archivage numériques.

 

 

« Le bien-fondé des consignes »

La consigne concerne principalement les bouteilles en verre (soda, bière, etc.), mais aussi les bouteilles de gaz.

Le système de consigne contribue de façon significative au principe du réemploi. Il consiste à fixer une valeur au contenant et non plus seulement au contenu, il est possible de le restituer et de se le faire rembourser.

Un programme de consigne permet de réduire la quantité de déchets et d’augmenter la participation au recyclage.

La consigne est un système très pratiqué au Canada, de même qu’en Finlande où les supermarchés disposent de bornes de restitution des contenants aluminium, acier et verre.

En France, le Grenelle 2 prévoit que les emballages contenant de la bière, des eaux ou des boissons rafraîchissantes sans alcool, notamment destinés à la restauration collective devront être consignés à compter du 1er janvier 2015.

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« Habiter un logement ou une maison BBC »

En l’espace de 30 ans, la consommation énergétique d’un logement a fortement diminué.

Ainsi, la consommation en énergie primaire d’une maison construite avant 1980 était en moyenne de 300 kWh/m²/an, contre 50 kWh/m²/an en 2010 avec les maisons BBC.

Par rapport à une maison construite avant 1980 une maison BBC récente de 100 m² fonctionnant au tout électrique permet l’économie de 8,5 tonnes éq CO2 par rapport à une maison fonctionnant au tout fioul ; 6 tonnes éq CO2 par rapport à une maison fonctionnant au tout gaz naturel ; 2 tonnes éq CO2 /an par rapport à une maison fonctionnant au tout électrique.

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La voiture 0 émissions n’existe pas

La voiture électrique possède des avantages réels (silence, non émission directe de Gaz à Effet de Serre –GES- et de particules), mais aussi des inconvénients.

L’achat d’un véhicule électrique n’est pas synonyme de « zéro émissions ». Une voiture électrique nécessite par définition… de l’électricité ! Or l’électricité possède un contenu carbone.

Si en France, la voiture électrique peut avoir un intérêt en matière de réduction des émissions de GES, puisque l’électricité y est faiblement carbonée, son intérêt est moins évident en Allemagne, aux États-Unis ou en Chine, où l’électricité est essentiellement produite à partir de charbon et de gaz.

Sur une échelle globale, si toute la flotte française de véhicules (environ 25 millions de voitures) était remplacée par des véhicules électriques, le besoin français en électricité se démultiplierait. La vraie question est alors de savoir par quels moyens on répondrait à cette demande : nucléaire, gaz naturel, charbon ou énergies renouvelables ?

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Préférez les livres papier

Lire ses livres et magazines sur une tablette numérique ou « e-Reader » : une bonne idée pour la planète ? Attention aux préjugés !

Les émissions de Gaz à Effet de Serre (GES) générées par la fabrication de ce type de support dépassent largement celle liées à la fabrication d’un livre.

Pour que la lecture de livres électronique (e-books) soit plus sobre que celle de livres papier, il faudrait que nous en lisions au moins… 160 ! La moyenne de lecture en France étant de 16 livres par an, la lecture sur tablette numérique ne devient « rentable » en termes d’économies de GES qu’au bout de 10 ans. Seul problème : elle sera obsolète depuis longtemps !

Ainsi sur 5 ans – durée de vie moyenne d’une tablette numérique – un lecteur aura lu en moyenne 80 livres et économisé 88 kg éq CO2 s’il s’agit de livres papier, par rapport à leurs équivalents électroniques.

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Manger des fruits et légumes de saison

Si les fruits et légumes hors-saison nécessitent une forte dépense d’énergie, c’est qu’il faut les transporter (bateau, avion) et surtout chauffer les serres.

En privilégiant les fruits et légumes de saison, nous réduisons nos émissions de Gaz à Effet de Serre (GES) d’environ 70 % par rapport aux légumes consommés hors-saison.

Sachant qu’un Français consomme en moyenne 230 kg de fruits et légumes par an, le différentiel des deux extrêmes « tout hors-saison » contre « tout de saison » représente plus de 400 kg éq CO2 /an.

 S’inscrire et se fournir auprès d’une AMAP est l’un des moyens de consommer toujours de saison.

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Configurer le mode veille de son ordinateur

La consommation électrique – et donc les émissions de Gaz à Effet de Serre (GES) associées – de votre ordinateur dépendent de son type (unité centrale ou portable), de l’écran qui y est associé (cathodique ou plat) et de votre temps d’utilisation.

En France, le temps d’utilisation  moyen d’un ordinateur à usage professionnel, est de 2510 h par an pour un écran (soit 11 h par jour ouvré dont 3 h en utilisation active et 8 h en attente, 230 jours par an).

Configurer votre ordinateur et votre écran pour qu’ils se mettent en veille automatiquement permet d’économiser :
•    32 kg éq CO2/an pour une unité centrale + écran cathodique ;
•    23 kg éq CO2/an pour une unité + écran plat ;
•    3,5 kg éq CO2/an pour un ordinateur portable.

En éteignant l’ensemble plutôt qu’en les laissant en veille, vous économisez :
•    1 kg éq CO2 supplémentaire pour une unité centrale + écran cathodique ;
•    0,7 kg éq CO2 supplémentaire pour une unité centrale + écran plat ;
•    0,4 kg éq CO2 supplémentaire pour un ordinateur portable.

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Le contenu carbone de l’électricité

Pour produire de l’électricité, il existe plusieurs types de centrales.

Selon son mode de fonctionnement, le kWh n’aura pas le même contenu carbone. Voici le contenu carbone de l’électricité selon le mode de production, exprimé en g éq CO2/kWh, arrondi :

  • Fioul : 1000
  • Charbon : 900
  • Gaz naturel : 500
  • Photovoltaïque : 110
  • Hydraulique : de 10 à 100 (selon les installations)
  • Nucléaire : 50
  • Éolien : 15

En France, où environ 80 % de l’électricité est produite à partir de centrales nucléaires ; le kWh électrique est d’environ 85 g éq CO2. En Norvège, il est très faible, 7 g éq Co2/kWh car l’électricité est essentiellement produite à partir d’hydro électricité. Au Royaume-Uni, où le parc de centrale fonctionne essentiellement au gaz naturel et au charbon, le contenu carbone de l’électricité est d’environ 500 g éq CO2/kWh.

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Emballages au format familial et éco-recharges

Chaque année, nous jetons 125 kg d’emballages.

C’est l’équivalent du tiers de nos poubelles.

Certes, le plus efficace pour réduire les émissions qu’ils génèrent est de privilégier les produits vendus… sans emballage ! Lorsque ce n’est pas possible, acheter les produits sous leur format familial réduit d’environ 25 % leurs émissions et permet d’économiser environ 5,5 kg éq C02 chaque année.

Si en plus, on opte pour l’utilisation d’éco-recharges, c’est-à-dire des recharges permettant de remplir certains contenants (comme de l’assouplissant pour le linge), alors on économise 300 g éq CO2 supplémentaires par an.

Au total, c’est presque 6 kg éq CO2 que l’on économise ainsi chaque année.

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« Le pouvoir réchauffant se mesure en kg éqCO2 »

Pour comparer l’impact des différents gaz à effet de serre (GES) entre eux, les scientifiques ont déterminé, pour chacun d’eux, un « pouvoir de réchauffement global » (PRG).

Par convention, ce PRG compare « l’impact sur le climat » d’un kilogramme de Gaz à Effet de Serre à celui d’un kilogramme de CO2 sur une durée de 100 ans.

Ainsi le méthane, qui a un PRG de 25, est considéré comme ayant un pouvoir de réchauffement 25 fois plus puissant que le gaz carbonique (1 tonne de méthane = 25 tonnes éqCO2).

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« Le bio GNV, c’est le moment d’en parler ! »

En septembre 2014, une nouvelle norme Euro (norme européenne d'émission s'appliquant aux véhicules neufs) devrait entrer en application : la norme EURO 6. N’émettant que très peu de particules fines, le gaz carburant (GNV) et le biométhane carburant (bio GNV) apportent des solutions aux problèmes de pollution et répondent déjà en l’état, aux exigences de la norme EURO 6, contrairement au diesel.

Le gaz carburant, appelé aussi GNV (Gaz naturel Véhicule) est différent du carburant GPL. C’est du gaz naturel mais compressé à 200 bars.

Le gaz carburant peut également être issu du bio méthane. Il a un potentiel intéressant dans la diminution des impacts environnementaux.

L’autonomie du gaz carburant est de l’ordre de 300 à 400 km et elle peut atteindre 1 000 km avec un véhicule hybride gaz carburant/essence.

Aujourd’hui, les véhicules lourds fonctionnant au gaz carburant sont principalement des autobus, des poids-lourds et des bennes à ordures ménagères. Ils disposent de  moteurs dédiés exclusivement à ce carburant.

Encore relativement peu développé en France avec environ 13 000 véhicules légers, 2 300 autobus et 800 bennes à ordures ménagères, le gaz carburant rencontre un large succès dans le monde. En Europe, 1,32 million de véhicules roulent déjà au gaz naturel dont près de 800 000 en Italie, leader européen en la matière, suivi par l’Allemagne.

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« Cette poubelle vaut de l’or ! »

Il y a de l’énergie dans vos déchets !

La collecte des déchets vers une unité de valorisation transforme ces résidus en méthane, ceci après épuration du biogaz issu de la fermentation.

Ainsi ces déchets, triés sélectivement, deviennent une source « renouvelable » :

  • production d’engrais via le digestat,
  • production d’énergie par le biogaz avec transformation en électricité ou injection dans le réseau de gaz naturel à proximité.

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Visioconférence ou déplacements motorisés ?

Au travail comme dans le privé, les réunions physiques sont parfois indispensables.

Mais lorsque cela n’est pas le cas, privilégier la visioconférence, la webcam ou simplement le téléphone s’avère particulièrement efficace en termes de réduction d’émissions de Gaz à Effet de Serre.

En programmant annuellement 8 visioconférences en remplacement de réunions situées à 100 km (voiture), 500 km (train) ou 1000 km (avion), nous économisons respectivement 400, 200 ou 4 400 k eq CO2.

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Remplacer les ampoules à incandescence par des LED

A intensité lumineuse égale (autour de 650 lumen, soit l’éclairage nécessaire à un bureau de 3 m²), changer son ampoule à incandescence permet l’économie carbone annuelle de :

  • 1,5 kg éq CO2 avec une ampoule halogène (mais sa durée de vie est peu supérieure à celle d’une ampoule classique)
  • 3,8 kg éq CO2 avec une ampoule basse consommation (durée de vie de 8 ans)
  • 4,1 kg éq CO2 avec une LED.


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Optimiser l’éclairage naturel d’une pièce


Quand c’est possible, privilégions l’éclairage naturel à l’artificiel. Lorsqu’un bureau est installé près d’une fenêtre, l’éclairage naturel peut très aisément remplacer une lampe et fournir les 200 lux nécessaires (norme de luminosité du Code du Travail). Vous économisez 100 kWh par an, soit plus de 8 kg éq CO2 par an.

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Acheter d’occasion

Avant même de choisir un produit neuf, il peut être pertinent d’envisager l’acquisition d’un produit d’occasion. Certains biens s’y prêtent particulièrement : vélos, accessoires, gros matériels, mobilier.

Au-delà de non fabrication d’un nouveau produit, l’intérêt est, pour l’acheteur, d’acquérir un bien moins cher que le neuf ou de meilleure qualité pour un montant équivalent au neuf.

Pour 20 kg de mobilier d’occasion achetés par an, vous économisez le double d’émissions en kg éq CO2.

La réutilisation des biens est d’actualité, comme en témoigne depuis plusieurs années le regain d’activité des dépôts ventes et l’essor de sites internet spécialisés. Les ressourceries sont des structures associatives spécialisées dans le domaine du réemploi de biens et de produits.

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